15 February 2001 External T.I. 1999-0008405 F - Lien de dépendance

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84.1 251 256(5.1)

confirmed in 2004-0092871E5 F

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This translation was prepared by Tax Interpretations Inc. The CRA did not issue this document in the language in which it now appears, and is not responsible for any errors in its translation that might impact a reader’s understanding of it or the position(s) taken therein. See also the general Disclaimer below.

Situation

Question

Our comments

Principal Issues: [TaxInterpretations translation]

Is there a non-arm's length relationship resulting from a person's de facto control over a corporation?

Position: There may be a non-arm's length relationship for the purposes of 84.1, depending on the facts.

Reasons: Question of fact.

XXXXXXXXXX 1999-000840 (5-993066)

February 15, 2001

Dear Sir,

Subject: Subsections 84.1, 251 and 256(5.1) of the Income Tax Act

This is in response to your letter of November 22, 1999, in which you requested our opinion regarding the above in relation to the hypothetical situation described below.

Situation

X owned Xco and Mr. Y owned Yco. Xco's only asset was $100,000 in cash. Mr. Y (the taxpayer for purposes of subsection 84.1(1)) sold Yco to Xco (the purchaser for purposes of subsection 84.1(1)) for $500,000, its fair market value. Xco paid $100,000 and issued a note to Mr. Y for $400,000, bearing interest at the market rate. The note was secured by an immovable hypothec (on Yco's property). Xco and Yco amalgamated.

Question

You asked whether we would consider Mr. Y to have been related to Xco because he held a loan equal in value to 80% of the value of the amalgamated corporation and whether section 84.1 would apply to that transaction. You asked about the effect of the financing arrangement on the de facto control that Mr. Y may have over Xco because of Xco's substantial indebtedness to Mr. Y.

Our comments

The particular circumstances referred to in your letter appear to constitute an actual situation affecting specific taxpayers. As stated in paragraph 22 of Information Circular 70-6R4 dated January 29, 2001, it is the practice of the Canada Customs and Revenue Agency (CCRA) not to issue written opinions regarding proposed transactions otherwise than by way of advance income tax rulings. Furthermore, when it comes to whether a completed transaction has received appropriate tax treatment, that determination rests first with our Tax Services Offices following their review of all facts and documents, which is usually performed as part of an audit engagement. However, we can offer the following general comments that we hope may be helpful to you.

Subsection 84.1(1) of the Act may be applicable where an individual taxpayer resident in Canada disposes of shares that are capital property to a non-arm's length purchaser that is a corporation. We believe that subsection 84.1 could apply in a situation such as the one you have described. For the purposes of that provision, a taxpayer who disposes of shares in a corporation must be considered not to be dealing at arm's length with a purchaser corporation where the taxpayer who disposes of the shares exercises de facto control over the purchaser corporation after the disposition. On this subject, see Robson Leather Company Ltd. v. Department of National Revenue, 77 DTC 5106. It is obviously not possible to specify the circumstances in which we would consider that de facto control exists.

These comments do not constitute advance income tax rulings and are not binding on the CCRA in respect of any particular situation.

Best regards,

Alain Godin
for the Director
Corporate Reorganizations and
Resource Industries Division
Income Tax Rulings Directorate
Policy and Legislation Branch

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All rights reserved. Permission is granted to electronically copy and to print in hard copy for internal use only. No part of this information may be reproduced, modified, transmitted or redistributed in any form or by any means, electronic, mechanical, photocopying, recording or otherwise, or stored in a retrieval system for any purpose other than noted above (including sales), without prior written permission of Canada Revenue Agency, Ottawa, Ontario K1A 0L5

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Text of Severed Letter

Please note that the following document, although believed to be correct at the time of issue, may not represent the current position of the CRA.
Prenez note que ce document, bien qu'exact au moment émis, peut ne pas représenter la position actuelle de l'ARC.

Situation

Question

Nos commentaires

Please note that the following document, although believed to be correct at the time of issue, may not represent the current position of the Department.

Prenez note que ce document, bien qu'exact au moment émis, peut ne pas représenter la position actuelle du ministère.

Principales Questions: Y a-t-il un lien de dépendance, conséquence du contrôle de fait d'une personne sur une société?

Position Adoptée: Il peut y avoir un lien de dépendance aux fins de 84.1, dépendant des faits.

Raisons POUR POSITION ADOPTÉE: Question de fait.

XXXXXXXXXX 1999-000840 (5-993066)

Le 15 février 2001

Monsieur,

Objet : Paragraphes 84.1, 251 et 256(5.1) de la Loi de l'impôt sur le revenu

La présente est en réponse à votre lettre du 22 novembre 1999 dans laquelle vous demandez notre opinion concernant le sujet mentionné en titre dans la situation hypothétique décrite ci-après.

Situation

X détient la société X ltée et M. Y détient la société Y ltée. X ltée a comme seul actif 100 000 $ d'encaisse. M. Y (le contribuable aux fins du paragraphe 84.1(1) vend la société Y ltée à la société X ltée (l'acheteur pour les fins du paragraphe 84.1(1)) pour 500 000 $, soit la juste valeur marchande. X ltée paie 100 000 $ et émet un billet à M. Y pour 400 000 $ portant intérêts au taux du marché. Le billet est garanti par une hypothèque immobilière (des biens de Y ltée). X ltée et Y ltée fusionnent.

Question

Vous nous demandez si nous considérerions que M. Y est lié à X ltée du fait qu'il détient un emprunt dont la valeur équivaut à 80% de la valeur de la compagnie issue de la fusion et si l'article 84.1 s'appliquerait à cette transaction. Vous vous interrogez sur l'effet du mode de financement sur le contrôle de fait que pourrait avoir M. Y sur X ltée en raison de la dette importante de X ltée envers M. Y.

Nos commentaires

Les circonstances particulières mentionnées dans votre lettre semblent constituer une situation de fait touchant des contribuables spécifiques. Tel que mentionné au numéro 22 de la Circulaire d'information 70-6R4 du 29 janvier 2001, l'Agence des douanes et du revenu du Canada (ci-après l'"ADRC") a comme pratique de ne pas émettre d'opinions écrites concernant des opérations envisagées autrement que par voie de décisions anticipées. Par ailleurs, lorsqu'il s'agit de déterminer si une transaction complétée a reçu le traitement fiscal adéquat, la décision en revient d'abord à nos bureaux de services fiscaux à la suite de l'examen de tous les faits et documents, ce qui est généralement effectué dans le cadre d'une mission de vérification. Nous pouvons toutefois vous offrir les commentaires généraux suivants qui, nous l'espérons, vous seront utiles.

Le paragraphe 84.1(1) de la Loi peut être applicable lorsqu'un contribuable qui est un particulier résidant au Canada dispose d'actions qui sont des immobilisations en faveur d'un acheteur qui est une société, avec lequel il a un lien de dépendance. Nous croyons que le paragraphe 84.1 de la Loi pourrait s'appliquer dans une situation telle que vous nous avez donné. Aux fins de cette disposition, on doit conclure à l'existence d'un lien de dépendance entre un contribuable qui dispose de ses actions dans une société et une société acheteuse lorsque le contribuable qui effectue la disposition exerce un contrôle de fait sur la société acheteuse après la disposition. À ce sujet, voir Robson Leather Company Ltd. c. Le Ministère du Revenu National, 77 DTC 5106. Il n'est évidemment pas possible de préciser les circonstances dans lesquelles nous considérerions qu'un contrôle de fait existe.

Ces commentaires ne constituent pas des décisions anticipées en matière d'impôt sur le revenu et ne lient pas l'ADRC à l'égard d'une situation particulière donnée.

Nous vous prions d'agréer, Monsieur, l'expression de nos sentiments les meilleurs.

Alain Godin
pour le directeur
Division des réorganisations des sociétés
et de l'industrie des ressources
Direction des décisions de l'impôt
Direction générale de la politique
et de la législation
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Summaries

Summary Under

Tax Topics - Income Tax Act - Section 84.1 - Subsection 84.1(1)

secured promissory note potentially could give rise to de facto control

Y sold his wholly-owned corporation (Yco) to a corporation (Xco) owned by an unrelated individual (X), in consideration for $100,000 in cash (being the only asset of Xco) and an interest-bearing promissory note for $400,000, secured by a mortgage on Yco's property). Xco and Yco then amalgamated.

CCRA noted that s. 84,1 would apply if the individual (Y) had de facto control over the purchaser corporation (Xco), and cited Robson Leather (77 DTC 5106) in this regard. but declined to comment on whether the note would give rise to such de facto control (although it stated that s. 84.1 could apply in a situation such as this).

Summary Under

Tax Topics - Income Tax Act - Section 251 - Subsection 251(1) - Paragraph 251(1)(c)

holding of secured note for 80% of purchaser’s assets potentially could give rise to de facto control

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